“Paese che vai, Capodanno che trovi”. Nel Medioevo la data cambiava secondo i luoghi, i paesi e le città. Il Capodanno era una festa mobile, chi viaggiava molto poteva trovarsi a festeggiare l’ultimo giorno dell’anno in stagioni diverse.
«Pays où vous allez, Nouvel An que vous trouvez». Au Moyen Age, la date changeait selon les lieux, les pays et les villes. Le Nouvel An était une fête mobile, ceux qui voyageaient beaucoup pouvaient célèbrer le dernier jour de l'année à différentes saisons.
Per i Celti il capodanno era il 31 Ottobre il giorno del Samhain (vedere l’articolo del blog che ne parla https://www.animakeltia.com/single-post/2015/10/28/The-Samhain). Gli antichi Romani fino al I secolo avanti Cristo festeggiavano ben 2 capodanni: uno a gennaio, il mese di Giano protettore di tutti gli inizi, e l’altro, quello vero e proprio, alle idi di marzo. Fu il calendario giuliano a stabilire gennaio come capodanno unico per l’antica Roma.
Pour les Celtes, le Nouvel An était le 31 octobre le jour du Samhain (voir l'article du blog qui en parle https://www.animakeltia.com/single-post/2015/10/28/The-Samhain ). Les Romains jusqu'au premier siècle av. J.-C. ont célébré deux nouvel an: un en janvier, le mois de Janus protecteur de tous les commencements, et l'autre, le vrai, aux ides de mars. C'est le calendrier julien qui a établi le 1er Janvier comme date unique du Nouvel An pour la Rome antique.
Era il 1 gennaio in Borgogna e in tutta la penisola iberica (eccetto tra 400 e 600’ in cui l’anno iniziava il 25 dicembre). In Francia l’anno nuovo si apriva a Pasqua, fino al 1567 quando Carlo IX la spostò al 1 gennaio. Nelle terre del Sacro Romano Impero l’anno vecchio finiva proprio la vigilia di Natale. In Inghilterra e Irlanda: fino al XII secolo, la data dell’inizio dell’anno oscillò tra il giorno della nascita (25 Dicembre) e quello del concepimento (25 Marzo). L’’abitudine perdurò fino al 1752. Anche in Italia il Capodanno oscillò per lungo tempo tra le 2 date. Con qualche eccezione: in Puglia, Calabria, e Sardegna, l’anno nuovo iniziava ufficialmente il 1 settembre, secondo lo “Stile bizantino”. Venezia seguì sempre la regola romana, tutti i documenti pubblici redatti in Laguna fino al 1797 indicando il 1 marzo come data di inizio dell’anno. Quel giorno si accendevano dei grandi falò propiziatori. I bambini giravano nelle strade battendo su pentole e coperchi per scacciare col rumore il freddo mese di febbraio, si trascinava nelle vie la catena del camino che diventava lucida e appariva come nuova. Così, a Capodanno permane l’illusione che la vita si rinnovi. Capod’anno era anche il momento in cui si scambiavano piccoli doni in famiglia e in cui si regalava qualche cosa ai poveri, un pezzo di carne, del pane di frumento, qualche giocattolo di legno e pezza per i bambini.
C'était le 1er janvier en Bourgogne et dans toute la péninsule Ibérique (sauf entre 400 et 600 car l'année commençait le 25 décembre). En France, la nouvelle année s'ouvre à Pâques, jusqu'en 1567 lorsque Charles IX l'a déplacée au 1er janvier. Dans les terres du Saint Empire Romain Germanique, la vieille année se terminait la veille de Noël. En Angleterre et en Irlande: jusqu'au douzième siècle, la date du début de l'année variait entre le jour de la naissance (25 décembre) et celui de la conception (25 mars). L'habitude a duré jusqu'en 1752. Même en Italie, la nouvelle année a longtemps oscillé entre ces deux dates. À quelques exceptions près: dans les Pouilles, en Calabre et en Sardaigne, la nouvelle année commençait officiellement le 1er septembre, selon le «style byzantin». Venise a toujours suivi la règle romaine, tous les documents publics rédigés dans la lagune jusqu'en 1797 indique le 1er mars comme date de début de l'année. Ce jour-là, de grands feux de joie était allumés. Les enfants faisaient le tour des rues en battant des pots et des couvercles pour chasser grâce au bruit le mois de février, et en traînant la chaîne de la cheminée dans les rues qui devenaient brillantes et avaient l'air neuves. Ainsi, au Nouvel An, l'illusion demeure que la vie est renouvelée. C’était aussi le moment où de petits cadeaux étaient échangés et où quelque chose était donné aux pauvres, un morceau de viande, du pain de blé, des jouets en bois et une pièce pour les enfants.
Mentre prima il capodanno era una festività sentita soprattutto in Scozia, con il regno della regina Vittoria approda in Inghilterra. Hogmanay era la data in cui si scambiavano i doni. La festa scozzese, Hogmanay, prevede tutta una serie di riti propiziatori per l’anno nuovo.
A capodanno, restare in casa poteva portare sfortuna perché… quel che fai il primo dell’anno lo fai per tutto l’anno. Se stai in casa sei malato! Si pensava infatti che il primo dell’anno potesse essere uno specchio della fortuna o della sfortuna dell’anno neonato.
Un altra tradizione é the First Foot: la prima persona che varcava la soglia doveva portare piccoli doni, dolci e frutta, carbone, sale e whiskey. Se questa persona aveva i capelli scuri ed era di sesso maschile portava fortuna, in effetti un biondo non era gradito e poteva esser lasciato fuori fino all’arrivo di un uomo moro. Erano gli uomini a fare le visite. Donne e bambini fino a dieci anni restavano a casa a ricevere. Le case erano aperte per tutti per tutta la giornata. Bastava mandare un biglietto da visita per essere ricevuti. Era l’occasione d’oro per i giovani di socializzare… Verso 1880 questa tradizione degenerò, diventando per i giovani uomini quasi una gara a chi faceva più visite, a discapito dell’approfondimento delle amicizie femminili, e per le ragazze una gara a chi collezionava più biglietti da visita.
I giovanotti uscivano sempre con qualche moneta in tasca: il denaro non sarebbe mancato durante l’anno. sempre in questo giorno era bene non lavorare: la casa veniva pulita tutta nei giorni precedenti. Quando si usciva si doveva evitare di portare con sé fiaccole o lanterne: portare il fuoco fuori casa era di cattivo augurio. Bisognava evitare il bucato il giorno di capodanno. Non era bene indossare un nuovo capo di abbigliamento il giorno di Capodanno, portava sfortuna!
Le Nouvel AN à l'époque victorienne était un jour de fête comme Noël. Alors qu'autrefois c'était une fête ressentie surtout en Ecosse, avec le règne de la Reine Victoria, l'Angleterre apprend à célébrer l'arrivée de la nouvelle année. Le festival écossais, Hogmanay, comprend toute une série de rites propitiatoires pour la nouvelle année. Cependant, à partir de minuit, les victoriens commencent à devenir sérieux.
First Foot, le premier pied qui franchit le seuil après minuit, était une tradition empruntée à l'Ecosse: la première personne qui franchissait le seuil devait apporter de petits cadeaux, bonbons et fruits, charbon, sel et whisky. Mieux si cette personne avait les cheveux foncés et était un homme, parce que cela portait chance. Un blond n'était pas le bienvenu et il pouvait arriver qu'il soit laissé dehors jusqu'à l'arrivée d'un homme et d'un invité noir.
À l'époque victorienne, il devient très à la mode de sortir le jour de la Saint-Sylvestre: rester à la maison portait malheur parce que ... ce que vous faites le premier jour de l’année, vous le faites pour toute l'année. Si vous restez à la maison, vous êtes malade! Les maisons de l'époque victorienne étaient donc ouvertes à tout le monde tout au long de la journée: il suffisait d'envoyer une carte de visite pour être reçu. C'était l'occasion en or pour les jeunes hommes et femmes de socialiser ... Vers 1880 cette tradition a dégénéré, devenant pour les jeunes hommes presque une course pour ceux qui faisaient plus de visites, au détriment d'approfondir les amitiés féminines, et pour les filles un concours pour ceux qui collectionnaient plus de cartes.
Les jeunes gens sortaient toujours avec quelques pièces de monnaie dans leurs poches: l'argent ne serait pas perdu au cours de l'année. Aussi, ce jour-là, il était bon de ne pas travailler: la maison était nettoyée de fond en comble. Il fallait éviter de porter des torches ou des lanternes: car apporter le feu à l'extérieur de la maison était de mauvais augure. Il portait malchance de mettre un nouveau vêtement le jour du Nouvel An. Le son d'une cloche ou d'une cloche était plutôt un bon présage, de même que ... jeter un gâteau contre la porte pour garantir une année sans faim.
Auld Lang Syne si cantava la notte di capodanno per dar l’addio al vecchio anno e al passato. Tuttora viene cantata nella notte di capodanno e in occasione di congedi, separazioni e addii. Il testo della canzone è un invito a ricordare con gratitudine i vecchi amici e il tempo lieto passato insieme a loro.
Auld Lang Syne était et est un chant utilisé pour dire au revoir à la vieille année. Les paroles sont une invitation à se souvenir avec gratitude des vieux amis et du bon temps passé avec eux.
Buon ascolto/ Bonne écoute :
Sources:
http://www.festivaldelmedioevo.it/portal/natale-e-capodanno/
http://www.teteamodeler.com/culture/fetes/nouvelan.asp